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Rés’eau Sol : les résultats de la campagne d’analyses 2016

Durant l’année 2016, le Rés’eau Sol est entré dans sa phase mesures de terrain et de laboratoire. Chaque membre du réseau, en fonction des ses préoccupations, a retenu des protocoles de mesures à réaliser.

L’animatrice du réseau, Fanny GALINDO est passée chez chacun mettre en place les mesures.

  • 12 fermes ont été visitées
  • 29 stations étudiées
  • 79 visites de terrain effectuées
  • 425 analyses réalisées (terrain + labo)

Tous les résultats de cette campagne sont disponibles en téléchargement ici
Le cahier des protocoles proposés est consultable ici

5 Décembre 2016 Présentation des résultats de la campagne 2016


La campagne d’analyses est terminée et Fanny GALINDO a présenté aux membres du groupe Rés’Eau Sol réunis à Puylaurens, les résultats complets. Chacun a pu découvrir les informations recueillis sur ses parcelles et comparer avec les mesures enregistrées chez les voisins, ce qui a suscité évidemment force discussions et interrogations. le processus de recherche appliquée est bien enclenché par ce groupe joyeux et très curieux de comprendre comment le sol se comporte et comment l’eau y circule.

Un bon repas concocté par l’ami Christian a clôturé la soirée dans la bonne humeur.

Tous les résultats de la campagne d’analyses sont disponibles en téléchargement ici.

13 octobre 2016, les premiers résultats du Rés’Eau Sol

Le 13 octobre 2016, les membres du Rés’Eau Sol étaient invités à Saint Paul Cap de Joux pour découvrir les premiers résultats des analyses effectuées sur leurs sols. L’appareillage de 28 stations d’étude et de 17 zones témoin a permis d’obtenir les premières données en mai 2016. Depuis, Fanny, l’animatrice du Rés’Eau Sol, s’active sur le terrain et au Pecnot’Lab à faire des mesures, analyser des échantillons et compiler les données obtenues. Chacun était impatient de connaitre les premiers résultats !

Texture, ph, perméabilité, capacité d’échange cationique, respiration microbienne, stabilité structurale, tous ces paramètres ont été étudié pour mieux comprendre comment l’eau se comporte dans le sol. Chaque membre du réseau est reparti avec une fiche reprenant les données étudiées chez lui. S’ils continuent à effectuer des mesures, cet état initial leur permettra d’évaluer l’évolution de leurs sols et l’impact de leurs pratiques.

A la présentation des résultats a succédé un temps d’échange entre les paysans. L’occasion d’analyser et de commenter la situation de chacun.

Ces premiers résultats ne sont qu’un début. Ils seront bientôt complétés par la mesure de la glomaline, du prélèvement des derniers litter bag et de l’identification de la faune trouvée dans les échantillons de sol. La suite au prochain épisode !

Documentation

Compte-rendu de la rencontre du 13 octobre 2016

Le 24 septembre 2016, journée d’échange entre Rés’Eau Sol et Réseau SAGNE

Le 24 septembre 2016, des adhérents du Réseau SAGNE et du Rés’Eau Sol se sont réunis à Fontrieu Castelnau-de-Brassac pour se rencontrer et échanger sur leurs expériences. En amont ou en aval du bassin versant, chacun joue un rôle pour la préservation de l’eau dans le sol.

Cette journée fut l’occasion pour les membres du Réseau SAGNE de découvrir les manipulations menées dans le cadre du Rés’Eau Sol et de les mettre en pratique sur différents types de sols.

Plusieurs dispositifs ont été mis en œuvre devant le groupe :

  • Le dispositif du double anneau
  • Le profil pédologique
  • Le test du "litter bag"
  • Une présentation de la manipulation pour la mesure de la respiration microbienne

C’est Fanny, l’animatrice du Rés’Eau sol, qui a expliqué au groupe les objectifs et le principe de chacun de ces dispositifs, avant de faire des démonstrations sur le terrain.

Dispositif du double anneau :

Cette expérience permet de connaître la perméabilité du sol en mesurant la vitesse d’infiltration verticale de l’eau dans le sol. Plus la hauteur d’eau diminue vite, plus le sol est perméable.


Profil pédologique :

Le profil pédologique permet d’observer les textures et les structures du sol et de déterminer les différents horizons. A l’aide d’une tarière on extrait des carottes de sol que l’on aligne au sol, dans le même ordre. On peut ainsi observer les différences de couleur, de texture et d’humidité du sol selon la profondeur et mieux comprendre son sol.

Test du « Litter Bag » :

Cette expérience permet d’évaluer l’activité biologique d’un sol en déposant dans le sol, à une profondeur de 10 – 15 cm, une matière biodégradable (comme une étoffe de coton biologique) dont la masse est connue. On la laisse enterrée plusieurs mois puis on la ressort pour peser la matière résiduelle. La matière manquante aura été dégradée par les micro-organismes du sol.

Présentation de la manipulation pour la mesure de la respiration microbienne :

Cette expérience, à faire au labo, permet de mesurer l’activité microbienne en conditions optimales en mesurant la quantité de CO2 émis durant la période d’incubation.

Ces manipulations mises en place dans le cadre de l’observatoire de l’eau dans le sol, permettent aux agriculteurs d’être autonomes sur des mesures simples afin d’évaluer les conséquences de changements de pratiques sur leurs cultures. L’observatoire de l’eau dans le sol permet de donner à chacun des éléments de compréhension dont il peut avoir besoin pour faire évoluer ses pratiques.

La question des mouvements de l’eau dans le sol, qu’il soit en nature de zone humide ou pas, est une question centrale. La solidarité entre les acteurs de l’amont et de l’aval est essentielle. Qu’il soit question de sols de plaine ou de zones humides de montagne, les actions menées par le Rés’Eau Sol et le Réseau SAGNE sont intimement liées !

Documentation

Compte-rendu de la rencontre du 24 septembre 2016

23 Juin 2016 Journée sur l’activité biologique à Labessière Candeil

C’est Jérôme et Yasmina Freslon qui accueillent le groupe ce 23 Juin 2016 pour aller visiter les parcelles sur lesquelles Fanny a réalisé les mesures. Jérôme explique qu’il a voulu étudier la perméabilité de ses sols en comparant deux parcelles bien distinctes ainsi que l’activité biologique sur ces deux stations distinctes. Il est trop tôt pour retirer du sol les "litter bags" déposés au mois d’avril, mais le groupe fait le tour des parcelles pour découvrir avec étonnement que dans les parcelles de crête les plus sèches l’eau a plus de mal à s’infiltrer que dans les parcelles plus fraiches en fond de vallée. Qui l’eut cru ?

De quoi alimenter la réflexion et renoncer aux à la facilité des apparences...

Merci à Jérôme et Yasmina pour leur accueil chaleureux.

Le 26 mai 2016, portes ouvertes au Pecnot’Lab

Après une réunion en avril, qui a permis de valider l’appareillage installé chez chacun des paysans du Rés’Eau Sol, une porte ouverte au Lab’Eau leur a permis de découvrir les différents appareils de mesure mis à leur disposition.

Fanny, parée pour l’occasion de sa plus belle blouse blanche, nous a servi de guide, en nous faisant la démonstration de chacun des outils du Lab’Eau. Et il y a de quoi faire ! ·

  • L’étuve permet de sécher les échantillons de sol afin d‘en mesurer leur teneur en eau
  • Le système de tamis vibrants permet de séparer les sables fins et les sables grossiers ainsi que les argiles et les limons
  • Le densimètre permet de mesurer, à différents intervalles de temps et sur une durée de 24 heures, la densité d’une solution contenant un mélange de limons et d’argiles. Ceci permet de définir le pourcentage d’argiles et le pourcentage de limons contenu dans le sol ;
  • Le pH-mètre de laboratoire permet de mesurer de façon précise et rapide le pH d’un sol ;
  • La centrifugeuse est utile pour mesurer la teneur en glomaline. Elle permet de séparer la phase liquide contenant la protéine à la phase solide ;
  • Le spectro-photomètre est capable de quantifier la concentration en protéine d’une solution à l’aide de faisceaux lumineux. Il va donc nous servir à la quantification de la glomaline ;
  • L’incubateur permet de mesurer la respiration des micro-organismes. Il permet de maintenir les échantillons de sol à une température fixe pendant la durée de l’incubation.

Tout cet appareillage technique permet à Fanny d’analyser les échantillons de sols récoltés chez les membres du Rés’Eau Sol. Un suivi régulier permettra de comprendre comment se comporte l’eau dans nos sols.

Quant aux adhérents, ils sont invités à venir enfiler une blouse de temps en temps pour l’aider et s’approprier les techniques d’analyse. Ils ont désormais les outils nécessaires pour répondre scientifiquement à leurs questions et adapter leurs pratiques agricoles. La science s’invite dans les champs et au Pecnot’Lab !


Le 13 novembre 2014, les mycorhizes à Roquevidal

Sébastien ROY, qui étudie la fertilisation biologique des plantes par les bactéries et les mycorhizes, est venu nous parler des champignons mycorhiziens.



Une mycorhize est une association entre une racine et un champignon du sol.
Tous les champignons ne s’associent pas aux plantes. Ceux qui s’associent sont dits champignons mycorhiziens.
Par facilité de langage on va parler de mycorhizes à la place de champignons mycorhiziens, mais la mycorhize est bien l’association de la plante et du champignon mycorhizien.

Comment ça marche ?

Le champignon s’associe à la plante par ses racines et développe ensuite tout un réseau de filaments (hyphes) qui va lui permettre de parcourir le sol, horizontalement et verticalement et d’aller puiser les nutriments et l’eau nécessaires à la plante. Ainsi la plante a accès à un stock de nutriments et d’eau que seules ses racines ne peuvent atteindre.
Ces filaments se comportent comme des canaux dans lesquels circulent l’eau et les sels minéraux et peuvent se reconnecter les uns aux autres, multipliant ainsi le réseau de circulation des nutriments.
La plante en échange va fournir au champignon le carbone dont il a besoin.

A retenir :

La symbiose endomycorhizienne

  • permet de diminuer la fertilisation minérale, tout en gardant des rendements constants
  • participe au maintien de la qualité des sols
  • représente une forme « d’assurance » en cas de conditions difficiles (froid, sècheresse…) car « mutualise » les ressources du sol et favorise la présence de micro-organismes bénéfiques
  • Il a été découvert récemment que via les réseaux mycorhiziennes (filament ou hyphes), les plantes s’échangent du CO2, de l’Azote mais aussi des informations.

Qu’est ce qui menace les mycorhizes et réseaux mycorhiziens :

  • l’absence de couvert végétal (le champignon endomycorhizien ne vit pas sans plante associée)
  • le travail du sol : labour, travail avec des outils à dents qui cassent les réseaux mycorhiziens
  • la monocultures d’espèces non mycorhiziennes
  • la fertilisation chimique
  • les fongicides et herbicides

Quasiment toutes les plantes s’associent avec des champignons mycorhiziens. Elles peuvent vivre sans mycorhizes, mais ne seront pas en bonne santé.

Documentation

Compte-rendu de la rencontre du 13 novembre 2014

Le 9 Octobre 2014, l’agroécologie à Maurens-Scopont

Jean-Pierre SARTHOU, professeur à l’ENSAT, est venu nous parler d’agroécologie et de lutte biologique de conservation

L’entomofaune est particulièrement importante pour les cultures. L’agriculture a besoin des insectes pollinisateurs et des ennemis naturels des ravageurs de cultures. On parle alors d’auxiliaires de cultures.

Où trouver ces auxilliares ?

  • sur les talus de bors de parcelles
  • dans les haies
  • dans les bosquets
  • dans les friches

... tous ces espaces semi naturels vont accueillir une entomofaune qui a un moment de sa vie sera utile à la culture de la parcelle voisine, soit pour polliniser, soit pour détruire les ravageurs de cultures.

A retenir :

  • les ennemis naturels tuent plus de ravageurs de cultures que les insecticides ; les seuls insecticides ne peuvent venir à bout d’une attaque de ravageurs sans les ennemis naturels.
  • la simplification des paysages et l’intensification des pratiques entraîne le déclin des ennemis naturels, favorise le développement des ravageurs, et augmente la dépendance aux insecticides (cercle vicieux)
  • 84% des plantes cultivées en Europe sont pollinisées par des insectes sauvages
  • la pollinisation par des abeilles sauvages (par exemple) est bien plus efficace que celle réalisée par les abeilles domestiques : une bonne pollinisation entraîne une augmentation de la production.
  • la diversité des paysages, permet la diversité floristique qui permet à son tour le développement d’une entomofaune variée, utile aux culture.

Des pratiques favorables à l’entomofaune : tout ce qui participe à la diversité des paysages et des habitats

  • des paysages variés avec haies, bandes enherbées, bosquets, talus...
  • des bandes enherbées et talus maintenus ; le broyage peut se faire, plutôt en hiver, et une année sur deux ou trois
  • l’agroforesterie
  • des sols non perturbés : un sol vivant, couvert en permanence, offrira des conditions chimiques favorables aux défenses naturelles des plantes et aux ennemis naturels des ravageurs.

Cultiver la diversité paysagère, la diversité des habitats est essentiel pour augmenter les productions (meilleure pollinisation) et lutter efficacement contre les attaques de ravageurs (bio-control).

Documentation

Compte-rendu de la rencontre du 9 octobre 2014
Présentation de Jean Pierre SARTHOU

Le 11 Septembre 2014, la microbiologie des sols à Roquevidal

La microbiologie des sols par Claude et Lydia BOURGUIGNON

C’est dans les prairies de David, Jean-Marie et Christiane JOULIA, éleveurs de bovins viande à Roquevidal, que Claude et Lydia BOURGUIGNON ont présenté l’importance de la vie dans les sols, en particulier de la microfaune.

Deux profils pédologiques ont été réalisés et ont permis de retracer l’histoire de la parcelle qui autrefois était partagée en deux par un talus.

Quelques enseignements à retenir :

  • l’observation du sol et du comportement des plantes, reste pour le paysan la principale garantie d’indépendance de décision vis-à-vis d’un conseil extérieur.
  • bien connaître et comprendre le fonctionnement de son sol permet d’adapter les cultures.
  • une observation de sol doit se faire sur au moins 1 mètre de profondeur pour évaluer la présence des éléments minéraux dans les différents horizons accessibles par les racines. Une analyse de « terre » d’un échantillon prélevé dans l’horizon supérieur donne un enseignement incomplet.
  • il faut absolument regarder le réseau racinaire des plantes pour voir jusqu’où elles descendent, quels sont les horizons qu’elles explorent, afin de mesurer le potentiel nutritif disponible pour les plantes
  • les matières organiques doivent toujours être déposées en surface de sol afin que la macrofaune puisse initier leur dégradation et les déplacer dans les horizons supérieurs là où la microfaune se charge de les dégrader en présence d’oxygène, elle travaille en aérobie, d’où l’importance de ne pas les retourner avec du labour et de les enfouir dans des profondeurs où l’oxygène est moins présent et où la faune ne pourra correctement travailler.
  • les vers de terre sont des acteurs essentiels qui font se rencontrer les humus de surface avec les argiles de fond pour former le complexe argilo-humique, d’où l’importance d’observer s’il y a des galeries dans le sol, si les vers circulent bien entre les horizons ; on mesure la porosité du sol, les conditions de circulations de la vie à l’intérieur du sol
  • les éléments minéraux nutritifs pour les plantes sont rendus disponibles grâce au travail de dégradation biochimique réalisé par la microfaune du sol et par les champignons

Documentation

En savoir plus : http://www.lams-21.com/artc/1/fr/

Le 23 Juin 2014, les vers de terre à Puylaurens

Des vers de terre et des hommes, par Marcel BOUCHE, éminent spécialiste européen (CNRS - INRA)


C’est chez Michel et Annie VALETTE, sur les coteaux de Puylaurens, que le groupe a retrouvé Marcel BOUCHE, éminent spécialiste des vers de terre.Une journée particulièrement riche en échanges.

L’après midi a été consacré à chercher et observer les vers de terre, qui à cette période sont en diapause.

  • creusement de deux trous dans une prairie humide, et observation des vers épigés et anéciques enroulés sur eux-mêmes car ils sont (du 28 mai au 28 juin) en diapause (repos)
  • observation des galeries
  • observations des fèces que les pédologues appellent les grumeaux : mélange de terre et de matière organique digérées, que les vers de terre vont laisser en repos pendant un certain temps et remanger par la suite

Echanges :

  • le sol de la prairie naturelle est souple, ce qui laisse supposer la présence de très nombreux vers de terre
  • la prairie fauchée reste couverte de végétation et le système racinaire n’est pas touché, ce qui permet de préserver un sol vivant et favorable aux vers de terre
  • lorsqu’on observe des turricules, cela est signe d’un sol tassé que les vers de terre travaillent à détasser
  • on distingue trois catégories de vers de terre : les épigés qui vivent dans les premiers centimètres du sol, les endogés qui vivent dans les zones plus profondes et se déplacent plutôt horizontalement, et les anéciques qui se déplacent verticalement entre les zones profondes et les zones de surface . Ce sont ces derniers qui font le plus gros travail de lombrimixage et d’aération du sol.
  • La création de galeries est favorable à l’infiltration de l’eau lorsqu’il pleut, à la présence d’oxygène favorable à la microfaune et aux racines qui très souvent suivent les galeries de vers de terre

Documentation

Le compte-rendu de cette journée à télécharger ici
La lettre de liaison qui raconte cette journée (entre autre)
En savoir plus :
Des vers de terre et des hommes, Marcel Bouché, éd Actes Sud

26 Mai 2014 , l’Agroforesterie à Dourgne

L’agroforesterie et le sol, par Daniele ORI du cabinet AGROOF


Ce 26 mai, c’est entre les gouttes, à Dourgne, chez Jean Luc et Florence HERVE, que le groupe s’est retrouvé autour de Daniele ORI venu présenter l’agroforesterie et ses ses atouts pour préserver des sols riches et vivants.

Le contexte de Dourgne, au pied de la Montagne Noire, est particulièrement sensible à la présence de vents violents. Les arbres sont ici indissociables de l’élevage. jean Luc et Florence HERVE, éleveurs de chevaux, ont préservé un fort maillage de haies et compléter avec une parcelle agroforestière.

Le soir, en salle, Daniele ORI a fait une présentation des grands principes de l’agroforesterie :

  • les avantages pour la production de biomasses
  • les associations à bénéfices réciproques
  • les différentes techniques
  • la méthodologie d’étude de projet : quelles questions se poser pour monter un projet
    agroforestier ?
  • étude collective d’un projet envisagé par François RIVES confronté à des problèmes
    d’érosions fortes sur certaines de ses parcelles.

Documentation

Présentation de Daniele ORI, d’AGROOF

En savoir plus :
http://www.agroof.net/
http://www.agroforesterie.fr/

28 avril 2014 : le profil pédologique à Teyssode

Comment réaliser et lire un profil pédologique, par Antoine DELAUNOIS (Chambre d’Agriculture du Tarn)

Le 28 avril 2014, c’est dans un champ de François RIVES, à Teyssode, qu’Antoine DELAUNOIS pédologue de la Chambre d’agriculture du Tarn, a expliqué au groupe comment réaliser et interpréter un profil pédologiques. Les éléments importants à observer :

  • la structure du sol, sa porosité, sa teneur en matière organique...
  • la présence de vie,
  • le réseau racinaire,
  • les traces des pratiques culturales....

Documentation

Téléchargez le diaporama d’Antoine DELAUNOIS

7 avril 2014 : Introduction à la pédologie à St Paul Cap de Joux

Introduction à la pédologie, par Jacques THOMAS (SCOP SAGNE)

Un cours de mise à niveau a été dispensé par Jacques THOMAS, pour revoir les fondamentaux de la pédologie.

Documentation

Vous pouvez télécharger la synthèse en cliquant ici.

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